Je manie intensément l’encre de Chine. J’aime y sculpter la lumière. Celle qui filtre, qui pointe, se reflète, s’accroche désespérément ou lascivement aux aspérités, raconte. Comme la main sur la roche, le pied qui glisse sur le plancher, le son qui blesse ou apaise selon, la peau, le papier.
2 commentaires
Myriam
Ce que c’est beau ! Quel plaisir de les regarder sur un grand écran !
Peggy Ann Mourot
Ha ! Merci Myriam !