Je continue à peindre dans des livres.
Parce que je peins beaucoup, tout le temps, y compris quand je suis en déplacement ou à l’extérieur. Que les papiers aux grammages conséquents que j’affectionne sont souvent chers quand ils ne sont pas devenus introuvables et c’est encore pire pour les carnets. Alors je vais chez mon bouquiniste et je trouve des livres aux papiers jaunis et aux textures soyeuses ou poreuses, peu importe, mais qui me rendent joyeuses.
Là ce sont des tests que j’ai fait la dernière fois que j’ai pris le train sur ce qui va devenir un de mes carnets de “là où je vais, ça dépend”.
Et à priori ça sera un mélange d’encre de chine de gouache blanche et de café, comme là, enfin, ce qu’il y a là où je vais.